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Les métiers : les emplois en voie de disparition

L’ère professionnelle actuelle est dédiée au télétravail, aux entreprises libérées, ainsi qu’aux nouveaux métiers émergents, suite à l’institutionnalisation des nouvelles technologies. Les métiers techniques, métiers du web, liés à l’informatique ou aux nouvelles technologies ont le vent en poupe. Et c’est tout à fait compréhensible.
Les époques se suivent, mais ne se ressemblent pas. Voici une liste de métiers qui devraient disparaître dans quelques décennies.

Se déplacer autrement : le métier de chauffeur en mutation

Le marché de la voiture autonome est en cours d’études. La compétition est lancée, entre les différents constructeurs automobiles. Selon diverses études, le parc automobile devrait être composé de voitures sans chauffeurs vers 2050.
Voici une nouvelle qui n’enchante guère les professionnels exerçant les métiers suivants :

  • chauffeurs de taxi : déjà concurrencés par les chauffeurs VTC (Uber, LeCab…)
  • moniteurs d’auto-école : plus besoin d’apprendre à conduire si les voitures n’ont plus de chauffeurs
  • livreurs : pour les mêmes raisons. La concurrence d’Amazon (qui souhaite mettre en place un service de livraison par drones) n’est pas bénéfique pour tous les métiers concernant la livraison.

À propos de marchandises

Il n’a pas pu vous échapper que les grandes surfaces les plus réputées (Leclerc, Auchan…) ont installé, depuis plusieurs années, des caisses de paiement, sans caissières. En effet, le consommateur scanne directement les produits achetés et paie à l’aide d’une carte bancaire. Les systèmes de Drive sont également en pleine expansion. Ce qui pousse à croire que les métiers d’hôte ou hôtesse de caisse devraient être amenés à disparaître.
Il en va de même pour celui de magasiniers. Amazon a encore frappé, en investissant dans une horde de robots magasiniers, qui trient de nombreuses marchandises de manière effective et efficace. Une nouvelle attristante pour tous les professionnels qui exercent ce métier manuel depuis plusieurs années.
Voici donc deux secteurs mis en danger par la vague d’innovations technologiques. Les échéances sont toutefois imprécises.

Les métiers du livre et de la traduction

Les ventes de liseuses électroniques prennent de l’ampleur, tandis que les sites qui mettent en ligne des ouvrages tombés dans le domaine public gratuitement se développent. Cette nouvelle donne implique des modifications certaines, dans l’univers du livre. Les maisons d’édition misent sur la publication d’ouvrages numériques, tandis que les libraires voient leurs ventes diminuer sensiblement. Quant aux bibliothèques, elles voient leurs utilisateurs investir les tablettes, ordinateurs à leur disposition.
Les différents métiers comme libraire et bibliothécaire sont également mis à mal par la vague d’innovations technologiques. Les modes de consommation changent, donc les professionnels se voient dans l’obligation d’évoluer également.

Des mutations inévitables

Les mutations de notre société sont bien amorcées et n’en sont qu’ à leur commencement. Pas d’étonnement si les métiers classiques se doivent d’évoluer. En effet, si certains secteurs semblent sur le déclin, d’autres ne s’en portent que mieux. Bien que cela ne soit pas un constat réjouissant. Les métiers du net, liés à l’informatique ou aux nouvelles technologies sont en pleine expansion. Et si un fait doit être établi, c’est qu’il est préférable de cibler des secteurs porteurs pour assurer une future carrière, plutôt que des secteurs en sursis.

Activites sportives

Activités sportives : exercer dans le domaine du sport

Vous êtes sportif ? Vous ne concevez pas de vivre sans pratiquer des activités sportives de manière régulière ? Pourquoi ne pas choisir d’exercer un métier dans le domaine du sport ?
En effet, sans devenir un athlète accompli, il existe de nombreuses possibilités d’exercer plusieurs métiers liés aux activités sportives. Devenir coach sportif, professeur de sport, ou travailler dans le secteur du marketing sportif est tout à fait possible, selon les études que vous choisirez. Voici un article explicatif, sur les métiers accessibles dans le domaine du sport.

Activités sportives : devenir coach sportif

S’il y a une activité sportive qui a le vent en poupe, actuellement, c’est bien le métier de coach sportif. Ces experts accompagnent les particuliers qui souhaitent améliorer leur condition physique ou tout simplement reprendre une activité en douceur. Il/elle est donc en bonne condition physique et connaît les gestes à adopter au cours des exercices, afin d’éviter les blessures. Pour devenir coach ou éducateur sportif, il vous suffit d’être titulaire d’un brevet professionnel de la jeunesse, de l’éducation populaire et du sport (BEJEPS) ou d’un diplôme d’état similaire (DEJEPS). Ces formations de niveau Bac à Bac + 3/4 permettent d’exercer la majorité des métiers, dans le cadre de l’accompagnement sportif.
Libre à vous, ensuite, de choisir d’exercer en tant que coach indépendant ou de travailler dans une salle de sport, pour guider les particuliers dans leurs activités sportives.

Travailler dans le secteur du marketing sportif

Lorsque l’on évoque les activités sportives, les noms de grandes marques viennent directement à l’esprit. C’est le cas de marque comme Nike, Adidas, Reebok ou Puma. Pour assurer leur notoriété, ces marques font appel à des professionnels, en matière de communication ou de marketing. Ces domaines proposent de nombreux métiers liés au domaine du sport. Ces secteurs novateurs et en perpétuelle évolution vous ouvrent leurs portes. Ils vous permettront de mettre votre créativité et votre expérience au service du secteur sportif.

Devenir vendeur dans un magasin de sport

Si les grandes marques ont réussi à faire leur trou, c’est parce qu’elles ont pu s’appuyer sur un réseau de magasins de sport renommés. Decathlon, Foot Locker, Intersport sont quelques enseignes dans lesquelles tout particulier peut se fournir en matériel sportif. Ces magasins, dédiés aux activités sportives, offrent également des opportunités d’emploi non négligeables. De nombreux étudiants postulent auprès de ce genre d’enseignes pour exercer le métier de vendeur. Ces postes offrent également des perspectives d’évolution intéressantes. Il n’est pas rare de devenir responsable de rayon ou d’obtenir un poste de manager. Ces perspectives devraient enchanter les sportifs ambitieux, qui souhaitent embrasser ce genre de carrière.
Les vendeurs sont généralement formés en interne dans les magasins concernés. Toutefois, si ce métier vous intéresse, vous pouvez également débuter en tant que vendeur, après avoir obtenu un BTS dans le secteur de la vente ou d’un commerce. Le domaine des activités physiques ouvre donc de nombreuses perspectives d’emploi, parmi lesquelles il ne vous reste plus qu’à choisir.

ATSEM

Métiers de la petite enfance : un secteur d’avenir

Travailler avec de jeunes enfants demande patience, douceur et pédagogie. Le secteur des métiers de la petite enfance est un secteur porteur, qui recrute des salariés continuellement. Si certains métiers demandent des compétences pointues, comme celui d’infirmière puéricultrice, d’autres sont accessibles sans diplômes. Quelles sont les professions permettant d’exercer dans le secteur de la petite enfance ?

Les assistantes maternelles et ATSEM

Travailler avec de jeunes enfants demande de nombreuses qualités et compétences. Patience, souplesse d’esprit, empathie, notamment, sont demandées, mais pas seulement. Connaître les différents stades de développement de l’enfant semble primordial. Le secteur se porte bien et offre des possibilités de recrutement.
Si vous n’avez pas de diplôme représentatif des métiers de la petite enfance, vous pouvez exercer en tant qu’assistante maternelle ou agent territorial spécialisé dans la maternelle (ATSEM). Une assistante maternelle garde des enfants, confiés par leurs parents, à son domicile. Ce métier est accessible sans diplôme de la petite enfance. Toutefois, afin d’exercer en toute légalité, l’assistante maternelle doit obtenir un agrément octroyé par la Protection Maternelle et Infantile ou PMI, qui atteste que les enfants sont accueillis dans de bonnes conditions. Pour devenir ATSEM, il faut, soit être titulaire d’un CAP petite enfance, soit avoir plus de quatre ans d’expérience avec les jeunes enfants. Il faut ensuite passer le concours d’ATSEM, qui permet d’exercer dans les écoles.

Métiers de la petite enfance : devenir auxiliaire de puériculture ou éducatrice jeunes enfants

Pour exercer en tant qu’auxiliaire de puériculture, il faut réussir à passer les épreuves du concours, pour entrer en formation. Vous passerez ensuite une diplôme d’Etat d’auxiliaire de puériculture, et pourrez travailler en crèche ou en maternité. Pour devenir éducatrice jeunes enfants ou EJE, il est également nécessaire de passer un concours, après le bac, cette fois. Le diplôme d’Etat d’auxiliaire de puériculture, le CAP petite enfance ou le diplôme d’état d’aide médico-psychologique sont également suffisant, pour passer le concours EJE. Vous suivez ensuite une formation petite enfance qui dure trois ans, jusqu’à obtention d’un diplôme d’état d’EJE. Les éducateurs jeunes enfants travaillent majoritairement en crèche, entourés de jouets de chez King Jouet. Ils peuvent d’ailleurs exercer en tant que directeur de structure, après plusieurs années d’expérience.

Devenir infirmière puéricultrice

Les infirmières puéricultrices sont des infirmières diplômées d’Etat qui ont suivi une formation complémentaire en puériculture. Elles se sont donc spécialisées dans le domaine de la petite enfance. Mais elles peuvent travailler avec des jeunes enfants, comme avec des adolescents. Ce métier de la petite enfance permet d’exercer dans différentes structures. Dans les crèches en tant que salariée ou directeur de structure, à l’hôpital, en PMI. Les offres d’emploi sont majoritairement proposées dans la région Île-de-France, qui souffre d’une pénurie d’infirmière puéricultrice. Pour exercer, il vous faudra obtenir un diplôme d’Etat d’infirmier (accessible sur réussite de concours post-bac). La formation dure trois ans. Elle est suivie d’une spécialisation en puériculture, soit trois à cinq ans de formation, au total.