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Devenir architecte

Devenir architecte : exercer un métier fondateur

L’architecte est l’artisan de la construction d’un bâtiment, qu’il s’agisse d’un immeuble, d’un bâtiment ou d’une maison individuelle. Devenir architecte implique donc de pouvoir assumer de lourdes responsabilités. S’il dessine les plans initiaux de la configuration du futur édifice, l’architecte supervise également les travaux et s’assure de leur bonne continuité.
Le métier d’architecte est un métier complexe qui nécessite compétences techniques et compétences relationnelles. Quelles sont les tâches assurées par les professionnels ? Quelles sont les études architecte à réaliser, pour exercer ?

Quelles sont les tâches de l’architecte ?

L’architecte travaille pour des particuliers ou des entreprises. Il étudie les possibilités de réalisation du projet de construction. Il réalise quelques premières ébauches de plans et doit tenir compte des contraintes réglementaires ou de terrain. Devenir architecte implique donc de connaître les règles et lois régissant la construction de bâtiments.
Outre ses obligations initiales, l’architecte établit également un budget de faisabilité du projet. Il dessine les plans définitifs de construction et contacte les professionnels pouvant intervenir (demande de devis). Il choisit les prestataires et réalise un document de synthèse du projet. L’étude de l’architecte est ensuite suivie par l’encadrement du chantier, de son initiation, jusqu’à la fin des travaux. Ce métier nécessite de posséder de multiples compétences et ne s’improvise pas architecte qui veut.

Devenir architecte : les différents modes d’exercice

Un architecte peut exercer à son compte, en tant que libéral , dans une agence ou dans le cadre de la fonction publique. Il peut se spécialiser dans différents domaines, comme l’urbanisme ou le développement durable. Avant de pouvoir être à la tête de son étude architecte, il devra avoir fait ses armes, sous les directives d’un chef de projet (en agence). Il peut également devenir responsable d’agence et gérer plusieurs projets, en même temps.

Quelle est la formation d’architecte ?

Certains métiers demandent de suivre une formation spécifique. Ce métier est réglementé. Pour devenir architecte, il faut suivre une formation de six années, divisées en deux cycles. Au bout de trois ans, le premier cycle est sanctionné par un diplôme d’études en architecture. Le diplôme d’État d’architecte est obtenu après six ans d’études. Il est possible d’obtenir un doctorat d’architecture après huit ans d’études.
Il faut faire une école d’architecture, il en existe une vingtaine sur le territoire français. Il est possible de suivre une formation parallèle au sein de :

  • l’Institut national des sciences appliquées (Strasbourg )
  • l’École spéciale d’architecture (Paris)

Pour plus d’informations, investissez vos claviers pour une rapide recherche Google.

Architecture : les conditions d’exercice

Pour devenir architecte et avoir le droit d’exercer, il est impératif de s’inscrire au sein de l’Ordre des Architectes. Cet organisme se porte garant de l’exercice de la fonction d’architecte, dans le cadre du suivi de la déontologie du métier.
Après avoir suivi de longues études, satisfait à des démarches administratives. Vous pourrez assurer ce métier où discipline, rigueur, précision, diplomatie et sang-froid sont de mise.
Ce métier fondateur a encore de beaux jours devant lui.

assistant vétérinaire

Assistant vétérinaire : exercer auprès des animaux

Si vous aimez les animaux, vous avez la possibilité d’exercer des métiers passionnants, afin de prendre soin d’eux ou de leur santé. Devenir assistant-vétérinaire est donc une alternative intéressante pour réaliser votre projet professionnel. L’auxiliaire vétérinaire aide le vétérinaire à assurer ses fonctions, sur un plan administratif et dans le cadre des soins apportés aux animaux. Ce métier demande donc des compétences certaines et nécessite d’avoir suivi une formation minimale. En quoi consiste ce métier ? Comment devenir professionnel ?

La fonction d’assistant vétérinaire

Deux fonctions distinctes

Si devenir vétérinaire nécessite de suivre plusieurs années d’études dans une école spécialisée, devenir son assistant ne demande que deux ans, au minimum. La fonction d’assistant dédiée aux soins des animaux se distingue en deux qualifications distinctes :

  • l’auxiliaire spécialisé vétérinaire ou ASV
  • l’auxiliaire vétérinaire qualifié ou AVQ

Assistant vétérinaire : des tâches précises à assumer

Ses fonctions sont multiples :

  • assistance du vétérinaire dans le cadre de l’administration des soins aux animaux
  • gestion des rendez-vous et de l’agenda du vétérinaire
  • suivi des dossiers clients
  • gestion des stocks de médicaments et de matériel de soins
  • nettoyage des locaux (cages, salles de soins)

Voici quelques-unes des tâches assumées par un assistant vétérinaire. Cette liste n’est pas exhaustive et la polyvalence est une qualité indispensable pour exercer ce métier de contact.

Les qualités nécessaires à la pratique du métier

Devenir assistant d’un professionnel de la santé demande des qualités humaines et un sens du contact indéniables. Et ce, qu’il s’agisse de soigner des animaux ou pas. Outre ces qualités, devenir assistant vétérinaire implique de pouvoir rassurer les propriétaires d’animaux et de pouvoir assurer des soins auprès d’animaux en souffrance ou qui ont peur. Pour faire face aux urgences, il est également impératif de pouvoir maîtriser ses émotions et garder son sang-froid, afin de pouvoir agir sous pression. En tant que soignant, un assistant vétérinaire doit savoir se contenir.

Auxiliaire vétérinaire : quelle formation suivre ?

On ne peut exercer ce métier pointu, sans avoir suivi une formation, au préalable. En effet, pour pouvoir assister un vétérinaire dans l’exercice de ses fonctions, il faut obtenir un CAP/BEP, ou suivre une formation de deux ans, pour être un assistant spécialisé. En effet, la formation auxiliaire vétérinaire qualifié est validée après un an de formation en alternance et l’obtention d’un CAP, tandis que celle d’AVS nécessite de suivre une formation en alternance sur deux ans. Elle est sanctionnée par l’obtention d’un diplôme niveau IV.
Il est possible de se former dans des centres privés ou d’opter pour la formation à distance, afin de devenir professionnel. Une simple recherche Google vous aidera à trouver les informations demandées.

Le salaire perçu par un assistant vétérinaire

Un assistant vétérinaire débutant touche entre 1 400 et 1 600 €/mois, bruts. Il exerce au sein de cabinets, cliniques vétérinaires privées. L’exercice des soins aux animaux peut être spécialisé : soins aux animaux canins, aux animaux de ferme, aux chevaux, aux reptiles… Il peut également exercer dans des centres de chirurgie animale de pointe. La formation assistant vétérinaire choisie  déterminera ses possibilités professionnelles.

Devenir aide-soignant(e)

Devenir aide-soignant(e) : une formation pour devenir soignant

Le métier d’aide-soignant ou AS consiste à prodiguer des soins d’hygiène et de confort, à des personnes hospitalisées ou résidant dans des établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes. Ce professionnel travaille en collaboration avec les autres soignants de l’hôpital. Il effectue ses tâches sous la responsabilité de l’infirmier. Pour devenir aide-soignant(e), il suffit de suivre une formation paramédicale courte, accessible après un concours d’aide-soignant(e). Zoom sur un métier difficile, mais ô combien précieux !

Entrer dans un institut de formation après un concours

La formation d’aide-soignant(e) dure moins d’un an (10 mois, pour être plus précis). Les candidats peuvent intégrer la formation après avoir réussi le concours d’entrée. Ce concours est accessible sans condition de diplôme. Il faut tout de même être âgé de 17 ans, pour s’y présenter. Les candidats passent plusieurs épreuves (biologie, culture générale). Il est nécessaire d’obtenir la moyenne de 10/20 pour passer l’épreuve orale. Avant même de devenir aide-soignant(e), il faut donc travailler dur, pour pouvoir intégrer un institut de formation d’aide(soignant(e) ou IFAS.

Des études payantes

La formation coûte assez cher. En effet, il faut payer entre 700 € et 2 000 €, pour une durée de dix mois. Les études mixent cours théoriques et stages pratiques pour appréhender la prise en charge de personnes dépendantes. Les gestes techniques inhérents au métier d’aide-soignant(e) sont appris au cours des stages. Il est également possible d’obtenir le diplôme d’état d’AS, en suivant une validation des acquis et de l’expérience ou VAE. Pour utiliser cette voie, il est primordial de compter trois années d’expérience dans la pratique de soins d’hygiène et de confort.

Devenir aide-soignant(e) : la pratique au quotidien

Les AS travaillent essentiellement en structure hospitalière. Ils peuvent également travailler dans des EHPAD, des maisons d’accueil spécialisées, dans le secteur psychiatrique, en maternité ou dans le secteur médico-social. Les candidats effectuent leur choix, après avoir obtenu le diplôme d‘aide-soignant(e). Profitez donc de votre formation pour déterminer le lieu d’exercice qui vous convient le mieux.

Quel salaire ?

Les besoins en personnel évoluent chaque année. Toutefois, les services requièrent le recrutement d’environ 10 000 professionnels supplémentaires, chaque année. Devenir aide-soignant, signifie donc intégrer un secteur porteur d’emploi. Le salaire d’un débutant correspond au SMIC horaire brut, soit 1 467 € bruts par mois, mais il peut être plus élevé selon les secteurs d’exercice. Il n’est pas rare de débuter à 1 400 € nets mensuels.

Aide-soignant(e) : quelles évolutions possibles ?

Comme nous avons pu le voir, le professionnel peut exercer dans divers milieux. Bien que la majorité des AS travaillent à l’hôpital, il leur est possible d’exercer dans services comme l’hospitalisation à domicile (HAD) ou auprès d’un public handicapé. Ils peuvent également évoluer dans des structures de service : comme le Club Med ou autre. Devenir aide-soignant(e) peut également être un passeport vers la fonction d’infirmier, après réussite du concours. Les AS qui réussissent à entrer en école d’infirmière sont dispensés de certains modules d’enseignement.

attaché(e) de presse

Attaché de presse : un métier de relations publiques

À une époque où l’image est en premier plan, le métier d’attaché de presse prend tout son sens. En effet, ce dernier est un spécialiste de l’image et des relations publiques. Il veille à ce que l’on parle de vous, si vous êtes un artiste par exemple, ou que l’on parle de votre entreprise, si vous êtes un patron. Il est l’interface entre vous et les différents médias. Les stars : chanteurs, acteurs, metteurs en scène… Les personnages publics comme les écrivains célèbres ont bien compris le système et ont compris l’intérêt d’engager ce genre de professionnel de l’image. En quoi consiste la formation au métier ? Quelle est la forme d’exercice la plus adaptée au métier ?

Attaché de presse : un communicant efficace

Un métier de communication

Que l’on soit chef d’entreprise, artiste, ou en politique, il n’existe qu’un seul mot d’ordre pour se faire connaître : communiquer ! En effet, ce n’est pas en restant dans son coin que l’on peut faire connaître une marque ou un programme politique. Or, le monde des médias n’est pas forcément facile à aborder. Pour cela, il est donc nécessaire d’engager un professionnel des relations presse, qui va interagir avec les médias pour votre compte. Sa tâche première est de connaître l’entreprise sur le bout des doigts ou de connaître vos prestations/votre activité en profondeur.

Attaché de presse : Le chef d’orchestre de vos actions de communication

L’attaché de presse va ensuite organiser les conférences de presse pour son client, rédiger les communiqués de presse, dossiers de presse présentant votre entreprise ou vos prestations et veiller aux bonnes relations avec les journalistes. Il doit, à ce titre, bien connaître le monde des médias et les interlocuteurs auxquels il doit s’adresser. En effet, on n’adresse pas au Parisien, un communiqué de presse évoquant les derniers résultats sportifs d’une équipe de foot. Cela coule de source.

Relations presse : des qualités indispensables

Ce métier requiert des qualités relationnelles indéniables. Diplomatie, ouverture d’esprit, créativité, capacités rédactionnelles sont également demandées pour exercer cette fonction. N’abordez pas la fonction d’attaché de presse à la légère. En effet, patience, rigueur, courtoisie, et esprit de cohésion vous permettront d’aborder cette fonction en toute sérénité.

Quelle formation ?

Si auparavant une formation type bac+2 était suffisante pour exercer ce métier humain, dorénavant il est préférable d’être titulaire d’une licence d’information et de communication, au minimum, avant d’intégrer une agence RP. Si vous souhaitez vous intégrer rapidement dans la vie professionnelle, il est même conseillé de continuer vos études (Master 1 et 2 Communication).

La rémunération

En début de carrière, la rémunération d’un attaché de presse avoisine les 1 800 € – 2 200 € nets par mois. Tout dépend du lieu d’exercice. En effet, le professionnel peut travailler en tant que libéral. Il est alors freelance et facture ses prestations. Il peut également exercer ses talents au sein d’une agence de communication spécialisée. Certains agents reconnus peuvent toucher 4 000 à 5 000 € par mois.

travailler

Travailler : trouver un emploi d’avenir

Comme vous le savez, le monde du travail a été bouleversé par l’arrivée d’internet et l’expansion du numérique. L’évolution du marché du travail est sans cesse en mouvement. A ce titre, plusieurs métiers nouveaux ont vu le jour, depuis une quinzaine d’années. Ces métiers d’avenir ne font qu’éclore et semblent présenter une niche d’emploi intéressante, pour la génération à venir. Dans quels secteurs est-il conseillé de travailler, dorénavant ? Comment trouver un emploi d’avenir ?
Nous avons sélectionné des métiers qui ont, assurément, de beaux jours devant eux.

Être community manager

Exercer vos talents dans le domaine des médias sociaux vous assure de vous lancer dans une voie d’avenir. En effet, le métier de community manager n’existait pas en année 2 000, par exemple. 17 ans plus tard, le nombre d’offres d’emploi consacrées à ce métier du web, a explosé. Les community managers gèrent les communautés liées aux réseaux sociaux (Facebook, Twitter, Instagram). Leur rôle ne s’arrête pas là. En fait, ils sont tributaires de l’e-réputation des entreprises qui les font travailler. En partenariat avec le social media manager (autre métier d’avenir) et les rédacteurs web, ils construisent la stratégie de communication autour des médias sociaux. Une connaissance de ces derniers, ainsi qu’une connaissance du fonctionnement du web sont nécessaires, pour se diriger vers ce secteur.

Devenir data analyst

L’analyste de données ou data analyst est en passe de devenir une figure incontournable de l’entreprise. Ce travail consiste à recueillir des données statistiques sur l’entreprise, les analyser et modéliser le recensement des données. Ce métier basé sur l’informatique demande des compétences pointues. Il nécessite d’être titulaire d’un diplôme niveau bac + 5 en ingénierie informatique et de posséder des compétences marketing indispensables. Ce métier d’avenir va devenir un poste stratégique du monde de l’entreprise.

Travailler comme imprimeur 3D

Le métier d’imprimeur 3D est encore un métier qui demande compétence et connaissances techniques. En effet, l’impression 3D permet d’obtenir des répliques d’objets lambdas. Leur volume ne doit toutefois pas excéder 20 cm3.
Gageons qu’à l’avenir, les demandes de répliques d’objets seront croissantes. Il est donc intéressant de trouver un job dans ce domaine d’activités.De récentes études sur le secteur prévoient en effet, une expansion du marché de l’impression 3D de l’ordre de 20 %, jusqu’à l’année 2020.

Être administrateur réseaux

L’administrateur réseaux est le professionnel en charge de la circulation des informations via le réseau informatique de l’entreprise. Il veille à ce que les infos circulent correctement. Il est la pierre de lance du fonctionnement informatique du réseau et s’assure que les utilisateurs aient compris le fonctionnement et utilisent correctement le réseau ? Travailler dans ce domaine d’activités nécessite d’avoir de bonnes connaissances informatiques.
L’administrateur réseau est également en charge de créer les mots de passe système, de gérer la sauvegarde des données, de régler les pannes. Il veille au renouvellement du matériel en s’appuyant sur les innovations technologiques du monde informatique. Ce métier d’avenir est un métier stratégique du monde de l’entreprise.

orthophoniste

Orthophoniste : devenir orthophoniste, un métier paramédical

Les métiers paramédicaux ont le vent en poupe, car ils sont porteurs d’emploi. Accessibles après une formation de plusieurs années, qui mixe psychologie, étude du langage et notions médicales. Ces métiers demandent des connaissances et compétences, acquises au cours d’une formation qui mixe études et pratique professionnelle. Le métier d’orthophoniste est un métier méconnu, qui offre de nombreuses possibilités d’emploi.  En quoi consiste cette fonction ? Quel est le champ d’action de ces professionnels ?

Orthophoniste : présenter le métier

L’orthophoniste est un paramédical, c’est-à-dire qu’il intervient dans le cadre de troubles de la communication : parole, langage, altération de la voix, troubles de la déglutition…  auprès d’un large public. Son champ d’action est assez large. La formation orthophoniste permet d’intervenir auprès de différentes populations :

  • chez le jeune enfant (maternelle): en cas de trouble ou de retard du langage oral
    chez l’enfant plus âgé (primaire) : lors de troubles du langage tels que la confusion de sons ou de troubles du langage écrit, confusion de lettres (dyslexie, dysorthographie)
  • chez l’adolescent (collège, lycée), dans les cas de dyslexie sévère, les troubles étant aggravé lorsqu’ils n’ont pas été diagnostiqués précocement.
  • dans le cadre des suites d’accidents vasculaires cérébraux. Les patients souffrent en général d’aphasie : troubles de l’expression et de la compréhension du langage.
  • auprès de personnes bègues, autistes, présentant des troubles de la voix, de la déglutition…

Le rôle des orthophonistes est bien plus large que cela. Dans le cadre des troubles rencontrés, ils utilisent des méthodes permettant de rééduquer, réamorcer le langage ou simplement trouver des moyens de communication (dans le cas de l’autisme par exemple).

Dans quel cadre intervient-il ?

Les principales causes de retard de langage, sont en général liées à un déficit environnemental. Il existe un manque au sein de l’environnement familial qui entoure l’enfant. Des troubles du langage peuvent également être imputés à une surdité ou lorsqu’un enfant a souffert d’otites à répétitions, entre 0 et 1 an. Des troubles de l’articulation peuvent être engendrés par le fait d’avoir gardé le biberon trop longtemps. Une fois le diagnostic posé, l’orthophoniste peut intervenir, pour assurer une rééducation. Enfin, des troubles génétiques ou un handicap peuvent entraîner des difficultés, en terme d’apprentissage du langage.

Formation orthophoniste : comment cela se passe ?

Comment devenir orthophoniste ? Les études permettant d’exercer ce métier se préparent en institut spécialisé ou en centre de formation, pendant une durée de cinq ans (liste des centres disponible, via Google.fr). Pour entrer en école d’orthophonie, il est nécessaire de réussir un concours paramédical, que beaucoup d’aspirants préparent pendant des mois. La formation orthophoniste allie études théoriques et stages pratiques. Une alliance essentielle pour acquérir connaissances et compétences. La validation du diplôme confère le grade de mastère, soit un niveau bac +5. Le coût de la formation est à la charge de l’élève. Les frais d’inscription s’élèvent environ à 500 € annuels. Les élèves qui bénéficient de bourses sont dispensés du versement des frais de scolarité.
En début de carrière, un orthophoniste touche environ 1 600 € brut, lorsqu’il choisit d’être salarié.