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réunion de travail

Réunion de travail : les points clés pour l’organiser

Lorsqu’un projet ou un évènement se prépare ou vient de passer, une réunion de travail est indispensable. Mais comment la préparer pour qu’elle soit constructive et efficace ? Organiser une réunion ne s’improvise pas.

Les objectifs de la réunion de travail

Préparer un évènement ou un projet

La réunion de travail que vous envisagez doit avoir un but défini. S’il s’agit de préparer un évènement ou un projet, les éléments à apporter devront être travaillés en amont. Certains documents peuvent être déposés dans une Dropbox pour s’assurer de les avoir le jour J. Un nouveau projet demande un cahier des charges aussi précis que possible afin de déterminer les prestations à mettre en place. S’il n’est pas complet, la réunion peut aussi servir à éclaircir des points et à faire des propositions. Elles pourront être discutées et validées par le client pour choisir la solution la plus appropriée. Il faut aussi anticiper la prise de notes pour rédiger un compte-rendu à remettre à tous les participants après la réunion. Avec une telle préparation, rien de mieux pour avoir confiance en soi et mener une réunion sans encombre.

Une réunion de travail pour débriefer

Après la livraison d’un gros projet ou l’organisation d’un évènement, il est indispensable de se réunir pour faire le point. Pour que l’échange soit efficace, mieux vaut prévoir la réunion pas trop loin dans le temps après la livraison du projet ou la date de l’évènement, mais pas trop près non plus. Les idées doivent avoir mûri, afin d’en discuter à froid et être constructives. Les questions à se poser doivent évidemment tourner autour de ce qui peut être amélioré. Mais il est aussi important d’aborder tous les éléments qui ont bien fonctionné afin d’en prendre conscience et de pouvoir les reproduire. Pour cela, la réunion peut être déterminée avec un temps défini pour chaque sujet. Chacun doit pouvoir avoir la parole qui sera distribuée par celui ou celle qui mène la réunion de travail.

Planifier la réunion de travail

Les participants

La première étape pour planifier une réunion de travail est de lister les participants. Après avoir fait le point sur les objectifs de la réunion, cela permet de connaître les personnes impliquées. Qui a ou va travailler sur le projet ? Bien sûr, les chefs de projet ou les maîtres d’œuvre sont les premières personnes à inviter. Ils peuvent faire un point autant sur le travail interne que sur l’expérience utilisateur. Cependant, la présence des équipes d’exécution est tout aussi importante. Leur regard technique ou les retours sur les difficultés rencontrées permettent d’évoluer. Certains participants peuvent faire des interventions sur leur domaine respectif.

Lieu et horaires

Tout d’abord, il faut choisir le lieu de la réunion de travail. Dans certaines entreprises, plusieurs salles peuvent être mises à disposition. La salle doit être assez grande pour contenir tout le monde de façon confortable. Mais il faut également penser au matériel nécessaire. Vidéo, diaporama, ou simple paperboard : que nécessite le sujet de la réunion ?

Quant au jour et à l’heure, le mieux est de connaître les disponibilités de la salle, puis d’envoyer un e-mailing pour proposer les différentes possibilités aux personnes concernées. Ainsi, elles pourront indiquer le moment qui leur convient le mieux, afin de réunir tout le monde sans que cela ne perturbe les projets en cours.

Départ à la retraite

Départ à la retraite : la vie après le travail

Après avoir passé une grande partie de sa vie à travailler, le départ à la retraite peut parfois effrayer. Le rythme quotidien est bouleversé, le réveil n’a plus besoin de sonner. Dans un premier temps, prendre des vacances est évidemment bien mérité. Mais, à la longue, un sentiment d’ennui peut s’insinuer. Pourtant, la vie après le travail peut être palpitante. En effet, de nombreuses activités pour retraités sont organisées, et les projets peuvent enfin se réaliser.

Avoir des projets à la retraite

Être retraité : s’occuper de sa maison

Lorsque l’on travaille, il y a tellement de choses que l’on remet au lendemain. Mais lorsque l’heure du départ à la retraite a sonné, on peut enfin prendre le temps de s’occuper de tous ces projets qui attendaient. Bien sûr, quelques jours ou quelques semaines de vacances sont grandement mérités. Mais, il est bon de retrouver un rythme actif, pour ne pas sombrer dans l’ennui. C’est donc le moment de refaire l’aménagement de sa cuisine, de trier les dossiers ou de créer un potager. La maison est le premier lieu dont il faut prendre soin puisque désormais, vous y passerez plus de temps.

Départ à la retraite : le temps des voyages

Évidemment, départ à la retraite rime souvent avec départ en voyage. Lorsque l’on travaille, il n’est pas toujours facile de trouver assez de temps pour partir loin et longtemps. De plus, le travail fatigue tellement que, bien souvent, on ne cherche qu’à profiter du farniente. Envie de partir à Rome ? Bali ? Las Vegas ? Désormais, les voyages sont source d’activités, d’exploration, de sport ou de visite de musées. Alors, pourquoi ne pas réserver un vol avec Easy Jet et partir dès demain ? Mais oui, désormais, c’est possible !

Continuer à apprendre pendant son temps libre

Parfois, le départ à la retraite effraie. Après avoir passé sa vie à découvrir de nouvelles choses pour s’adapter aux nouvelles technologies, les personnes retraitées veulent continuer à apprendre. Pour cela, des cours sont ouverts à tous. Qu’il s’agisse de cours de cuisine, de piano, de navigation en bateau, ou d’études dans des universités, de nombreuses activités permettent de continuer à se nourrir de nouvelles connaissances. Il existe un peu partout en France des Universités du Temps Libre (UTL). Ce sont des universités qui s’adressent à tous ceux qui veulent approfondir des connaissances, se découvrir de nouvelles compétences, apprendre et partager. Cela se traduit par des conférences, des débats, des stages, des formations, des rencontres, et même des sorties à thème.

Départ à la retraite : rester utile aux autres

Surtout, après le départ à la retraite, le sentiment de ne plus être utile peut être pesant. Au sein d’une entreprise, que l’on soit salarié ou son propre patron, œuvrer pour des clients donne des raisons de se lever le matin. On apporte quelque chose aux autres, et même à la société. Lorsque ce rythme s’arrête, il est facile de se retrouver déprimé. Pourtant, de nombreuses associations n’attendent que vous et le choix est vaste. Vous pouvez devenir bénévole dans une association culturelle pour organiser des évènements dans sa région et faire découvrir des artistes. Aussi, les associations caritatives pour aider les plus démunis ont toujours besoin de personnes motivées et généreuses. Il y a également de nombreuses associations pour apporter sa contribution au soin de la nature.

Dossier Fongecif

Dossier Fongecif : constituer sa demande de financement

La vie professionnelle peut connaître des rebondissements. Parfois, on se lance dans une voie, puis l’on décide qu’elle ne nous convient plus ou qu’on aimerait la faire évoluer. Les formations professionnelles permettent de changer de direction. Pour en bénéficier, il est intéressant de monter un dossier Fongecif afin de se la faire financer.

Qu’est-ce qu’une demande de Fongecif ?

Dossier Fongecif : qu’est-ce que c’est ?

Il existe de nombreux Fongecif partout en France. Ce sigle signifie Fonds de Gestion des Congés Individuels de Formation. C’est ce qui permet de financer une formation en vue d’une réorientation professionnelle. Ces organismes s’occupent des CIF (Congés Individuels de Formation), des CBC (Congés Bilan de Compétences et des congés VAE (Validation des Acquis de l’Expérience). Ils sont financés par les entreprises. En effet, elles sont dans l’obligation de payer une cotisation pour la formation de leurs employés.

Un dossier Fongecif est donc un dossier de demande de financement pour bénéficier d’une formation professionnelle, d’un bilan de compétences ou d’une VAE. Ces 3 démarches permettent aux salariés de faire évoluer leur carrière. Cela permet de changer de domaine d’activité, ou d’ obtenir un meilleur poste dans le même domaine.

 Qui peut bénéficier d’une aide Fongecif ?

Un dossier Fongecif n’est recevable que si le salarié a un minimum d’ancienneté dans l’entreprise et un certain nombre d’années de salariat. Il faut se renseigner auprès d’un Fongecif pour connaître les critères spécifiques à chaque situation. Selon que l’on est en CDD ou en CDI, selon que l’on demande un CIF, un CBC ou un congé VAE, les critères varient.

Cependant, même si vous correspondez à la sélection, votre dossier sera examiné sur de nombreux autres aspects. En effet, votre démarche professionnelle, le choix de la formation, son coût, le secteur d’activité seront analysés. De plus, même si vous avez le bon nombre d’années pour y prétendre, une aide du Fongecif n’est offerte qu’aux personnes en ayant le plus besoin. Par exemple, d’autres salariés ayant plus d’ancienneté seront prioritaires.

Constituer un dossier Fongecif

Pour constituer un dossier Fongecif, qu’il s’agisse d’une demande de CIF, de CBC ou de congé VAE, il faut télécharger en ligne le fichier PDF à remplir. Attention aussi à connaître les dates butoirs de remise des dossiers.

Des pièces justificatives sont à fournir dans le dossier Fongecif : fiches de paie, devis d’une école pour une formation professionnelle, recommandations… Mais il faut surtout fournir un CV en bonne et due forme, mettant en avant vos compétences et votre expérience. Enfin, la lettre de motivation ne doit pas être négligée. Elle doit résumer votre démarche, tout en étant assez explicite sur vos motivations à vous réorienter. Vous pouvez également insister sur votre envie d’évoluer dans votre propre domaine, en expliquant ce que cela impliquerait dans votre vie professionnelle.

La concurrence étant rude, si votre Fongecif ne retient pas votre dossier, ne baissez pas les bras. En effet, de nombreuses autres administrations peuvent être sollicitées, comme la CAF ou Pôle Emploi.

étudiants

Étudiants : pourquoi choisir l’alternance ?

Il n’est pas toujours facile d’y voir clair parmi les possibilités d’études. Elles peuvent se révéler inadaptées pour certaines personnes, et la perspective de prendre un travail sans qualification ne permet pas de se projeter dans l’avenir. Les études en alternance offrent une option intéressante pour les étudiants qui veulent aussi intégrer le monde professionnel.

Les atouts de l’alternance

Obtenir un diplôme

Poursuivre des études, c’est souvent repousser l’entrée dans la vie active. Avec des études en alternance, c’est mettre un pied dans l’entreprise sans perdre de vue l’ambition d’un diplôme. Les étudiants apprennent alors la théorie et font valider leur savoir grâce à un diplôme reconnu par l’État et la profession. Cela peut être un diplôme de l’Éducation Nationale, un titre professionnel ou un certificat de qualification professionnelle (CQP). Ainsi, durant votre carrière, il sera plus aisé d’évoluer et de postuler à des postes intéressants.

Se former en restant étudiants

Lorsque l’on choisit des études en apprentissage, la théorie est complétée par la pratique en étant une majorité du temps chez un patron où l’on met en application l’enseignement reçu. Ce système permet la découverte de la réalité du terrain. En effet, lorsqu’on a un pied dans une entreprise, les étudiants doivent aussi tenir compte de la formation apportée par leur instructeur. Le rythme est soutenu, mais oblige à être organisé et autonome. Bien sûr, percevoir un salaire est un confort important. Cependant, il peut varier suivant votre âge et s’il s’agit d’une formation.

Les avantages pour l’entreprise

Les études en alternance ne sont pas avantageuses que pour les étudiants. En effet, les entreprises y trouvent également leur compte. Grâce à ce système d’études, elles peuvent former de futurs salariés et donc anticiper de futurs recrutements. De plus, les jeunes qui intègrent leurs équipes apportent également des connaissances nouvelles qui aident à faire évoluer leurs pratiques. Il faut également noter un point important que sont les aides financières dont bénéficient les entreprises qui embauchent des alternants ou des apprentis.

Étudiants : construire son avenir

Se créer un réseau professionnel

En étant étudiants et salariés à la fois, les jeunes qui ont choisi cette voie peuvent profiter de cette opportunité pour se créer un carnet d’adresses. En effet, pour entrer dans la vie active, un bon réseau professionnel peut ouvrir de nombreuses portes. C’est utile dès la fin des études ou au moment de changer d’entreprise. Lorsque le besoin d’une évolution de carrière se fait sentir, il est toujours bon de connaître des personnes qui sauront vous conseiller ou même vous recruter.

Trouver un emploi après ses études

Grâce à l’expérience professionnelle, les étudiants en alternance peuvent trouver un emploi plus facilement. En effet, ils ont acquis les codes de l’entreprise, les gestes techniques et ont les compétences requises pour un poste similaire à celui qu’ils occupaient. Si la formation qu’ils auront suivie est un BTS en alternance en communication, les portes s’ouvriront plus facilement chez de grandes entreprises comme vente-privée.com. Mais bien souvent, ils n’auront même pas besoin de postuler, car l’entreprise qui les a embauchés en alternance voudra garder le savoir-faire qu’elle leur aura transmis et leur proposera logiquement un poste dans ses équipes.

Mutation professionnelle

Mutation professionnelle : quelles possibilités ?

Une carrière professionnelle n’est pas une ligne droite. Il peut y avoir des détours et des changements de cap. Parfois, cela passe par une mutation professionnelle. Demandée par le salarié ou l’employeur, elle peut prendre différentes formes.

Les différents types de mutation professionnelle

Mutation professionnelle géographique

Si vous êtes salarié dans un groupe présent partout en France ou même à l’étranger, comme Axa Assurances, il est possible de devoir déménager pour le travail. Parfois, c’est un choix du salarié, pour des raisons personnelles. D’autres fois, c’est l’employeur qui a besoin de délocaliser ses salariés. Cela est souvent le cas dans des entreprises privées, mais aussi dans la fonction publique, notamment les professeurs en début de carrière.

Changement de poste

Une mutation professionnelle peut aussi simplement vouloir dire changer de poste au sein même de l’entreprise. Il s’agit dans la majorité des cas d’une promotion logique dans l’évolution de la carrière du salarié. Cela implique souvent de nouvelles responsabilités et un salaire en hausse.

Changement d’entreprise

Lorsqu’un groupe a plusieurs filiales, les salariés peuvent parfois changer d’entreprises, sans pour autant déménager si elles sont implantées dans une même région. Dans ce cas, la mutation professionnelle ne bouleverse la vie du salarié que dans son travail. Il apporte ses compétences à une nouvelle équipe.

Contrat et clause de mutation

Le contrat et convention collective

Une mutation professionnelle n’est possible que si elle est mentionnée dans une clause présente, soit dans le contrat du salarié, soit dans la convention collective de l’entreprise. Il s’agit d’une clause de mobilité. Si elle est uniquement dans la convention collective, l’employeur est dans l’obligation de prévenir l’employé au moment de l’embauche. Si l’employé n’est pas mis au courant, la clause peut être considérée non recevable devant le Conseil des Prud’hommes. Lors d’une mutation géographique, le salarié peut éventuellement avoir droit à une aide pour organiser un déménagement.
Aussi, si la mutation s’effectue dans le même secteur géographique, elle est alors considérée comme un simple changement des conditions de travail.

En cas de refus

Si la clause est spécifiée, le salarié ne peut a priori pas refuser une mutation professionnelle, sauf raison exceptionnelle. En effet, cela peut être considéré comme une faute et une raison d’être licencié. En cas de second refus, cela peut même être considéré comme une faute grave.
Si la clause n’est pas spécifiée, le salarié doit donner son accord. S’il refuse, l’entreprise n’a pas le droit de le licencier.

Mutation demandée par le salarié

Si vous avez l’envie d’une évolution de carrière au sein de son entreprise, la mutation est une possibilité. Mais il faut préparer ses arguments. Cela peut-être l’envie de nouvelles responsabilités ou de déménagement pour des raisons personnelles. Bien sûr, il faut également démontrer les avantages que l’entreprise aurait à vous muter. Certaines entreprises fournissent la liste des postes disponibles au sein de ses filiales. Cela permet de se positionner et d’argumenter. La demande peut être effectuée lors de l’entretien d’évaluation annuelle ou bien lors d’un rendez-vous spécifique.

discrimination physique

Discrimination physique : les tatouages au travail

Les tatouages sont de plus en plus démocratisés et acceptés dans la société. Mais paradoxalement, même si de plus en plus de gens en portent, dans le milieu professionnel, il n’est pas toujours bien vu d’en arborer. Il faut donc réfléchir à l’attitude à adopter pour entretien d’embauche, afin de ne pas être victime de discrimination physique.

Discrimination physique en entretien d’embauche

Attention à la discrimination physique

Lorsque l’on se présente à un entretien d’embauche, l’apparence est le premier critère que le recruteur va observer. Bien qu’il ait pu découvrir votre parcours professionnel sur votre CV, la première rencontre est déterminante. Bien sûr, on aimerait tous se dire que nous sommes choisis pour nos compétences seulement. Mais, bien que la loi interdise toute discrimination physique, on sait que le look et les tatouages peuvent avoir une influence. Alors, quelle attitude adopter face à un possible employeur ? Puisque l’on ne connaît pas la personne qui nous reçoit, il est plus prudent d’être discret sur son apparence.

Quelle attitude adopter pour un entretien ?

Pour éviter la discrimination physique, rester neutre est encore la meilleure solution. Évidemment, si les tatouages sont sur des endroits du corps visibles, il n’est pas question de les tartiner de fond de teint. Si vous avez choisi ces zones du corps, c’est bien pour qu’ils se voient en toute circonstance. Mais sinon, des vêtements qui les couvrent sont plus appropriés. Et puis, cela dépend aussi de ce qu’ils représentent : s’il a une connotation négative, c’est évidemment moins bien perçu. Surtout, cela dépend du secteur d’activité. En effet, si vous êtes courtier en assurance ou peintre en bâtiment, la tolérance des employeurs vis-à-vis des tatouages est différente.

Quels secteurs tolèrent ou non les tatouages ?

Les secteurs qui ne tolèrent pas les tatouages

Si votre rêve est de travailler dans le domaine du luxe, mieux vaut éviter les tatouages. Sinon, il faut les placer dans des zones faciles à cacher, été comme hiver. Cela peut passer pour de la discrimination physique, mais c’est très difficile à prouver.
Même chose pour les métiers de l’accueil et du relationnel avec des clients, sauf exception pour certaines entreprises qui acceptent qu’un tatouage dépasse du chemisier. Mais de façon générale, quand on a un poste en lien avec la clientèle et que celle-ci peut être exigeante, ils sont rarement bien vus.
Le milieu médical est aussi touché par ce phénomène, ainsi que les postes de la fonction publique. Heureusement, les mentalités tendent à accepter les tatouages, mais cela reste encore un sujet délicat pour certains métiers.

Les secteurs qui acceptent les tatouages

Dans la restauration, c’est tout ou rien. Lorsqu’il s’agit de restaurant haut de gamme, les tatouages sont assez mal vus. Mais dans les restaurants de quartier ou les bars, il n’y a aucun souci.
Dans les domaines où il n’y a pas ou peu de relation avec des clients, ils sont généralement bien acceptés. C’est parfois même une véritable culture, comme chez les routiers ou les artistes. D’ailleurs, dans les domaines créatifs, les tatouages sont souvent bien perçus. Les transports, qu’il s’agisse de bus ou de Uber, sont un secteur où les personnes tatouées peuvent postuler sans être victimes de discrimination physique.
Et évidemment, le métier où l’on peut se permettre de porter beaucoup de tatouages : tatoueur !

Hôtesse d'accueil

Hôtesse d’accueil : quelle tenue vestimentaire ?

Un emploi d’hôtesse d’accueil a de nombreux avantages, le premier étant d’être compatible avec des études. Mais, en contrepartie, il est demandé que la tenue vestimentaire soit impeccable. En effet, l’image de l’entreprise doit être respectée.

Le rôle d’une hôtesse d’accueil

Accueil évènementiel

Souvent, les postes d’hôte ou d’hôtesse d’accueil sont prisés par les étudiants. En effet, ces postes offrent des missions ponctuelles lors d’évènements, ce qui est compatible avec des études. Suivant les missions, les consignes peuvent varier. Parfois il s’agit seulement d’accueillir le public. D’autres fois, il faut également le renseigner et connaître alors les informations liées à l’évènement sur le bout des doigts. Dans tous les cas, une session de brief est prévue avant de prendre son poste d’accueil. Parfois, un uniforme est distribué pour que tous les hôtes et hôtesses d’accueil aient une apparence rapidement reconnaissable.

Hôtesse d’accueil en entreprise

En entreprise, le rôle d’une hôtesse d’accueil est différent. Il peut se décliner de plusieurs façons, selon l’entreprise. Parfois, il s’agit seulement d’accueillir les visiteurs et de répondre au téléphone. D’autres fois, le poste demande des compétences proches du petit secrétariat. Il est courant qu’on demande à une hôtesse d’accueil d’enregistrer le courrier entrant et de le distribuer, de préparer le courrier sortant, d’envoyer un colis, ou de passer des commandes de fournitures. Concernant la tenue vestimentaire, il peut s’agir d’un uniforme ou de vos propres vêtements, en respectant les consignes fournies par l’entreprise.

L’importance de la tenue vestimentaire

Pour un entretien d’embauche

Vous cherchez un emploi et ne savez pas comment vous présenter aux agences d’hôtesses pour vos entretiens d’embauche ? Il y a trois qualités à respecter. Tout d’abord, avoir une tenue la plus neutre possible : évitez les accessoires ou des motifs, ainsi que les couleurs vives. Ensuite, la tenue doit être classique : les jeans, même noirs, ne sont pas les bienvenus. Mieux vaut choisir un tailleur, avec pantalon ou jupe. Enfin, il faut être irréprochable. Rien ne doit dépasser : vêtements repassés, maquillage présent, mais discret, coiffure lissée, sans frisottis si possible. Les tatouages et piercings sont rarement bien vus, mieux vaut les camoufler ou les retirer. Cela peut sembler strict, mais votre image en tant qu’hôtesse d’accueil reflète le professionnalisme de l’entreprise qui vous embauche.

Représenter l’entreprise

Que vous soyez hôtesse d’accueil pour Land Rover au Salon de l’automobile ou au standard d’une entreprise, vous représentez leur image aux yeux de leurs clients. Et pour cause, vous êtes la première personne que les visiteurs rencontrent. C’est pourquoi votre tenue doit être impeccable et respecter le dress code indiqué au préalable. Il arrive que l’entreprise fournisse un uniforme. Mais dans de nombreux cas, vous serez autorisée à porter vos propres vêtements. Pantalon ou jupe de tailleur, de couleur neutre, généralement noire, est l’idéal, accompagné d’un chemisier. Côté chaussures, les talons sont recommandés, mais pas trop hauts. Pour votre propre confort, il est d’ailleurs conseillé de porter des chaussures dans lesquelles vous vous sentez bien : lorsqu’on est hôtesse d’accueil, on passe beaucoup de temps debout ou à se déplacer. Parfois, dans certains domaines d’activité, l’entreprise accepte des tenues plus casual, sans pour autant qu’elles soient trop décontractées.